L’articulation
entre le psychologique et le social au sein de l’école
Education
formelle
→
qui a pour objet de transmettre la connaissance
Education
informelle
→
qui
transmet des connaissances mais n’était pas prévu à cet effet.
Nous verrons
l’éducation formelle : comment se fait la transmission de
connaissance, qu’est-ce que donner / recevoir la connaissance.
Apprentissage
→
à cheval entre formel et infromel.
En Suisse la
proportion d’universitaire est dans les plus basse de l’OCDE (avec
Turquie et Mexique…)
Rite
→
acquisition écriture, début de la grande école
→
maintenant tu es un grand.
Revaloriser l’oral
au niveau scolaire, démystifier l’écrit.
Héritage des
Lumières
→
éviter le dogmatisme.
Danger :
sur-spécialisation sans la culture générale.
Rosenthal /
Jacobsen
→
Pygmalion à l’école : Rat et réussite selon appréciation du
maître. Idem en classe, mais effet se retrouve pas dans classe ou
enseignant connaît bien les élèves et les a pour une longue durée.
Woods
→
élèves comme acteurs sociaux. Relation la plus importante n’est pas
le travail mais la relation interpersonnelle avec enseignant →
demandent considération de leur altérité personnelle (exemple des
élèves-numéros).
Gilly
→
travaux sur la perception des élèves par les maîtres : c’est
l’attitude de travail de l’élève et ses capacités cognitives qui
sont retenues.
Mise en avant par
l’élève de l’affectif alors que le prof met en avant le cognitif
(ainsi risque que l’élève prenne sur le compte de l’affectif une
remarque à but cognitif). Rosenthal
→
capacités de l’élève dépendent de la confiance en lui du prof.
Importance du rôle (Gilly) sur la compétence.
Evaluation
scolaire : 5 types :
1- évaluation
sélective
2- évaluation
sommative (bilan de compétence, ex : nombre de frappe minute…)
3- fonction
certificative → cette somme est-elle suffisante au certificat.
4- évaluation
formative → voir ce que l’on sait déjà et ce qu’il faut encore
acquérir.
5- évaluation de
monitoring (guidage) → évaluation pour déterminer la cause du
problème.
Cloche de Gauss
→ dans l’enseignement c’est plutôt une courbe de maîtrise.
Piéron →
docimologie = art de mettre des notes → montre changement radical de
note selon le prof.
Caverni →
Facteur d’ordre : premier corrigé mieux noté ; effet de contraire :
copie remise après une excellente ; facteur présentatif : écriture,
espacement → remèdes = multi-corrections, justifications des points
perdus…
L’attribution
→ besoin d’expliquer les choses (par exemple expliquer l’échec par
la situation).
Ce n’est plus
l’enseignant qui transmet son savoir à l’enfant mais l’enfant qui
construit son savoir grâce aux possibilités offertes par
l’enseignant.
Perraudeau :
L’enseignement se fait par questions (ressortir le vécu pour que
l’enfant se l’approprie). La parole de l’enseignant n’est que
rarement affective, elle est cognitive pour amener l’enfant à une
prise de conscience de son activité. Les réponses ne doivent pas
être fragmentées (donc pas bon de demander à une classe de finir une
phrase par exemple).
Il faut d’abord
réussir avant de comprendre